Sociétés anonymes, FCPI et prescription : un arrêt aux multiples enseignements

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BELLOTTI-CAUNEILLE

L’arrêt commenté est d’une très grande richesse tant il traite de problèmes distincts. On retiendra principalement qu’une société de gestion de portefeuille satisfait à l’exigence posée par l’article L. 225-25 du code de commerce si elle représente un FCPI qui détient les actions de la société. En outre, la Cour de cassation juge que la démission d’office du président du conseil d’administration n’affecte pas la validité des délibérations du conseil si le quorum demeure atteint. Enfin, l’arrêt consacre le principe selon lequel l’assignation en intervention forcée en déclaration de jugement commun n’est pas interruptive de prescription.

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